Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Mes écris, introuvables ailleurs que sur le net

6 mars 2010

mon journal -8-

reflexions sur la guerre
Quelle nation peut se prévaloir d'imposer la paix, si elle
fabrique ne serait-ce qu'une seule arme
Ou est la paix de la terreur, ou est la paix de la
séparation des hommes et selon quels critères ?... Afficher davantage
En quoi le fait de cultiver les différences peut il amener
à l'union
Dans un conflit, la raison de l'un n'est pas la raison de
l'autre. Deux enfants ont toujours de bonnes raisons de se
disputer, faut il écouter l'un plus que l'autre - et meme
si l'un a visiblement mal agit, pouvons nous nous permettre
de le juger, de le condamner, de le mettre à l'éccart ,
augmentant ainsi sa haine et sa rancoeur. Ne devons nous
pas plutot le prendre à part, lui parler, l'aimer encore
plus en lui demandant d'essayer au moins. Ne devons nous
pas enlever tout ce avec quoi il pourrait se faire du mal
et en faire aux autres. Ne devons nous pas essayer de
comprendre que personne n'est vraiment méchant , ni
vraiment mauvais. Seule la souffrance engendre la haine
Au dela de toute apparence, le mal extérieur provient du
mal intérieur et mal ne veut pas dire mauvais, mal veut
dire douleur
Que quiquonque veut la paix cesse de fabriquer la guerre
S'ils veulent vraiment se battre, laissez les faire, mais à
mains nues
Cessez d'abord et avant tout de leur fournir des armes,
détruisez celles qui existent et alors seulement vous aurez
le droit de leur demander de faire la paix
Commencez par vous meme, la paix est une attitude
intérieure, si chaque etre humain prend conscience de cela
sans s'occuper de son voisin, sans chercher à se justifier,
sans regard sur le passé si ce n'est pour en comprendre les
erreures, sans vouloir démontrer autre chose, hormi que les
erreures sont le lot de chaque etre humain et que c'est
l'ERREUR qui finit par engendrer L'HORREUR
NOus sommes tous responsables, que ce soit par lacheté, par
obeissance, par orgueil, par jalousie, par envie, par
indifférence, par entetement, c'est nous, c'est l'homme qui
fait le malheur de l'homme
En chaque etre humain est le meilleur comme le pire, ce
sont les circonstances de notre vie qui nous amènent au
meilleur comme au pire
ne jugeons pas notre voisin, nous ne savons pas ce que nous
aurions fait à sa place , il faut simplement remercier pour
ce qui nous a été épargné, ne nous contentons jamais des
apparences, elles sont trompeuses
tel pays qui défend les principes de liberté, d'égalité et
de fraternité vit en grande partie des ventes d'armes à
l'exportation, et ce n'est pas un secret
N'oubliez pas cela "et le combat cessa faute de
combattants" et appliquez le pour vous meme à tous les
niveaux, à tous les stades de votre vie
Ne changez rien dans votre vie que votre regard intérieur,
que votre regard sur les autres
Petit à petit cela deviendra inutile de proclamer quoi que
ce soit, de culpabiliser, de s'enfermer dans ses propres
erreurs
chaque matin est un jour nouveau, commencez chaque jour une
vie nouvelle, sachez que tout ce qui est fait par amour est
bien fait, il suffit d'y croire
Le fait de pardonner aux autres leurs faux pas suffira pour
nous faire supporter les notres
ET CELA EN VAUT LA PEINE

23 février, à 05:04 ·

Publicité
Publicité
6 mars 2010

mon journal -7-

trouvé sur google, auteur inconnu

Comme me l'a fait remarquer Gus, finalement l'abstention (qui était mon parti aux dernères municipales) l'a emporté haut la main. L'abstention, avec un taux record de 33%, est le premier parti de France. Pas de quoi être fiers dirai-je, en tant qu'abstentionniste non repenti, mais sans doute est-ce à n...os représentants de s'interroger...

Malgré ce fait majoritaire pour l'abstention, une panne de serveurs du ministère de l'informatique et des sondages encore cafouillants ont conduit à ce que les chaînes de télévision annoncent l'inverse le soir même.

Les résultats ont été rectifiés le lendemain, mais après coup, l'effet n'est pas le même : ce qui aurait dû être l'un des sujets majeurs de débat dimanche est passé à la trappe....
Quelques articles ont relevé cette panne, mais assez peu (cf. le Monde). Et quelques internautes ont cherché à savoir qui était le prestataire responsable des pannes de dimanche, dont le Ministère de l'intérieur a caché l'identité.

Réponse : c'est Level 3, et on apprend, par la lecture d'un article d'août dernier qui s'interrogeait sur la question, ou par consultation directe d'un site qui identifie la localisation du serveur www.interieur.gouv.fr (voir ici), que le site du Ministère de l'intérieur est hébergé à Seattle, USA...

Comme l'écrivait le site informatique Zataz.com en juillet dernier déjà, tous les messages postés sur le site du Ministère de l'intérieur transitent ainsi par le Royaume-Uni et les USA avant de revenir à Paris.

22 février, à 06:09 ·

6 mars 2010

mon journal -6-

allez encore de l'apolitique, c'est le moment, je dis à tout nos hommes ou femmes politiques que j'en ai marre, que ce sont les lobbies financiers qui dirigent le mondre, qu'ils n'attendent de nous qu'un bulletin dans l'urne, alors je leur dis merde (pardon) je ne voterai pas et j'adhère de tout coeur au parti abstenti...onniste, qui m'aime me suive et pour les autres, chacun a le droit de penser ce qu'il veut a demain

6 mars 2010

mon journal -5-

cherhe et tu trouveras pose des questions et l'on te repondra ne triche pas ni avec les autres, ni avec toi meme aime et ne juge pas n'attends pas d'apprendre ce que tu n'avais pas compris, cela fait trop mal laisse parler ton coeur, mets toi à la place des autres et souris sans cesse, et ris meme quand tu as envie ...de pleurer tu verras, ça marche .....

6 mars 2010

mon journal -4-

cherhe et tu trouveras pose des questions et l'on te repondra ne triche pas ni avec les autres, ni avec toi meme aime et ne juge pas n'attends pas d'apprendre ce que tu n'avais pas compris, cela fait trop mal laisse parler ton coeur, mets toi à la place des autres et souris sans cesse, et ris meme quand tu as envie ...de pleurer tu verras, ça marche .....

Publicité
Publicité
6 mars 2010

mon journal -3-

j'ai cherché Dieu sur l'étoile de david des juifs et je ne l'ai pas trouvé, j'ai cherché Dieu sur la croix des chrétiens et je ne l'ai pas trouvé, j'ai cherché Dieu sur la pierre de la Kaaba des musulmans et je ne l'ai pas trouvé, alors j'ai regardé dans mon coeur et c'est là que je l'ai trouvé écrit d'après u...n poème de Mevlana soufiste musulman

6 mars 2010

mon journal -2-

il y a un temps pour tout, chaque époque de notre vie nous apporte ses joies et ses peines, mais à chaque fois, nous pensions avoir déjà tout appris et nous découvrons que nous continuons d'apprendre et cela ne cesse jamais, c'est ainsi, il faut continuer à regarder devant nous, continuer à chercher à comprendre, rien... n'est jamais acquis, cependant, moi j'ai appris que rien n'était jamais ni tout noir ni tout blanc

6 mars 2010

mon journal -1-

la vie n'est pas un long fleuve tranquille, mais nous devons savoir ce que nous en attendons vraiment, le paradis c'est les autres, l'enfer c'est les autres, à nous de choisir car notre vie c'est aussi les autres et sans les autres, la vie n'aurait plus de sens (euh pas de faute d'orthographe ce coup là, françis ?)

2 mars 2010

Ce n'est rien, juste un mauvais rêve -1-

NOUVELLE ECRITE PAR CHANTAL ALDEGUER

CE N’EST RIEN

                                  

                                   JUSTE UN MAUVAIS REVE

« Il ouvre les yeux ! »

Jana attendait ce moment depuis longtemps. Et pourtant elle fut quand même saisie d’un court instant de panique. Elle s’était habituée à l’immobilité complète de celui qu’elle surveillait depuis plusieurs semaines. Cependant, elle avait clairement vu les paupières du jeune homme remuer.

Un léger frémissement parcourut le corps allongé.

Elle lança une seconde fois l’appel, cette fois ci à l’attention des autres membres de la communauté :

« Il se réveille. Ca y est ! »

Les réponses lui parvinrent, diffuses :

« Garde ton calme. Ce n’est pas le moment de paniquer ! »

« Tu te sens assez forte, tu veux que l’on vienne t’aider ? »

Jana réfléchissait rapidement tout en continuant à observer son patient.

« Non, on va faire ce qui était prévu ! Il ne faut pas qu’il vous voit, c’est encore trop tôt ! »

Mathias entrouvrit les yeux et les referma rapidement. La pièce était faiblement éclairée mais il ne pouvait pas encore supporter la lumière. Il se sentait vide intérieurement. Il essaya de remuer ses membres mais ne parvenait qu’à de légers tressautements. Plusieurs fois de suite, ses paupières s’entrouvrirent quelques secondes, laissant apparaître une pupille bleue. Sa respiration était rapide et saccadée.

Une forme se tenait au-dessus de lui. Un visage enfin se dessina, de plus en plus net. Une jeune fille d’une vingtaine d’années le regardait anxieusement.

Il essaya de parler. Il ne réussit qu’à émettre des syllabes :

-          Ou…ui…e ?

Jana avait entendu :

-          Reste tranquille, lui dit-elle, tu es en train de te réveiller !

Elle parlait à voix basse, guettant les réactions de celui qui émergeait si péniblement.

Il continuait de remuer, de plus en plus fort, soulevant une main, un pied, comme s’il essayait de remettre la machine en route.

-          Ne te fatigues pas ! Tu as le temps ! Tu vas récupérer lentement, ne t’inquiète pas !

Elle lui disait cela mais n’en était pas sûre du tout. C’était la première fois qu’ils arrivaient à récupérer un cryogénisé vivant et pour l’instant aucun d’entre eux n’était sûr du succès de l’opération.

La voix de Xor lui parvint « Il faut qu’il se rendorme ! Il va trop se fatiguer ! »

« Attends, laisse le faire ! » Répondit Jana « Il a dormi suffisamment longtemps tu ne crois pas ! »

« Bon, si tu le penses, je te laisse faire ! Nous surveillons ses fonctions vitales. S’il y a le moindre danger pour lui, nous le rendormirons, que tu le veuilles ou pas ! »

Jana se sentait agacée, mais savait que Xor avait raison. Elle était maintenant gagnée par la curiosité devant cet individu que l’on avait retiré du passé.

L’équipe de recherche l’avait découvert voilà déjà plus de deux ans. Ils avaient déjà ramené beaucoup de ces cryogénisés et à chaque fois ils avaient espéré. La majorité des corps avaient été découverts en très mauvais état et il leur fut impossible de les récupérer.  Celui-là devait son excellent état de conservation à l’endroit où il avait été placé. D’ailleurs, tous les corps qu’ils avaient récupérés intacts provenaient du même endroit. Leurs proches avaient pris la précaution de les déposer au cœur même de la glace,  dans l’antarctique, si bien que lorsque l’électricité s’était arrêtée, le froid naturel avait pris le relais.

Seule une dizaine de corps jusqu’à présent avaient été suffisamment bien conservés. La communauté avait tenté de les réveiller. Ils avaient soigné les maladies dont ils souffraient avant leur « mise en boite ». Mais une nouvelle déception les attendait. Les corps étaient redevenus fonctionnels mais sans vie animée.

A leur grande surprise, ils s’aperçurent que les esprits des ressuscités étaient définitivement partis, laissant derrière eux un corps inhabité.

Mathias fut leur premier succès. En même temps que son corps, ils avaient trouvé une lettre écrite par sa mère, une lettre pleine d’amour qui  racontait son histoire.

Lorsque son corps fut réparé, ils eurent la surprise de voir que son cerveau émettait à nouveau des ondes. Il était vivant. Il dormait simplement. Il suffisait d’attendre. Tous les tests effectués étaient excellant mais tant qu’il ne s’était pas vraiment réveillé, ils ne pouvaient être sûrs de rien.

« Sa tension monte trop, je l’endors » La voix était impérative. Jana soupira. Il ne s’était finalement pas passé grand chose et elle était déçue.

« Combien de temps vas-tu le faire dormir ? » 

« Quelques heures, cela te permettra de prendre du repos toi aussi. Je te sens fatiguée »

« On ne peut rien te cacher ! Cela dit, tu as raison. Ne le réveille pas avant que je ne sois revenue »

« Tu sais bien que c’est impossible. Pour l’instant, il n’y a que toi qui puisses rester avec lui. Bonne nuit, Jana »

Mathias se réveilla avec le sentiment d’émerger d’un brouillard cotonneux. Il essayait péniblement  de rassembler ses idées :

-          Bon je suis un être humain, mais qu’est ce que je fous là, dans cette clinique. C’est bizarre ici, ça ne ressemble à rien de ce que je connais ! Mais qu’est ce que je connais ? Bon sang, qu’est ce qui m’est arrivé ? Je ne sais même plus qui je suis !

Il revoyait un visage penché sur lui, une femme en pleurs. Il se concentra. « Maman ! » Mais pourquoi pleurait–elle ? Tout était si confus. Une pièce qui ressemblait à un laboratoire, et lui, allongé sur une table, mais pourquoi ? Puis lentement une plongée dans le noir, avec cette sensation qui ne l’avait plus quittée, s’accrocher, ne pas partir !

Cette idée qu’il fallait tenir le coup, il ne la comprenait même pas. Pour comprendre, il faudrait qu’il se rappelle de quelque chose. Rien ne venait que des brides d’une vie qu’il avait vécue mais qui s’était estompée. 

Jana était déjà là  lorsqu’il ouvrit les yeux à nouveau. Son regard était plus vivant. Il leva péniblement une main qu’il  porta à son visage. Il toucha son front, son nez, sa bouche.

-          Je suis vivant, dit-il clairement

-          Oui. Nous avons réussi à te ramener. Tu te souviens ?

-          Des images défilent dans ma tête, mais c’est flou. Je vois une femme. Ma mère... Oui… c’est ma mère. Elle pleure... Elle me parle…. Je ne comprends pas ce qu’elle dit.

-          C’est ton passé dont tu te rappelles. Nous avons trouvé une lettre pour toi dans ta boite.

-          Ma boite ?

-          Tu as été cryogénisé, tu t’en souviens ?

Il passa à nouveau la main sur son front. Chaque mouvement lui demandait un terrible effort, et pourtant il avait déjà fait beaucoup de progrès par rapport à la veille.

-          Ah, c’est ça ! Je m’en souviens maintenant ! Je crois que j’avais une maladie très grave, un virus ou quelque chose comme ça ! Tu es au courant ?

-          Oui. Nous avons réussi à te guérir !

Il la regarda soudain, comme s’il réalisait brutalement sa présence :

-          Qui es-tu ?

Jana s’attendait à cette question. Elle s’y était préparée depuis longtemps. Pourtant elle marqua un instant d’hésitation :

-    Je m’appelle Jana, dit-elle simplement.

Mathias l’observa attentivement. Elle était jeune, plutôt jolie, une silhouette fine et élancée d’après ce qu’il avait pu en voir. Ses yeux était d’un vert limpide, ses cheveux sombres et bouclés, sa peau foncée sans être noire. Une métisse.

-          En quelle année sommes-nous ?

-          Tu as été congelé il y a bien longtemps. Tu étais le fils unique d’un couple très riche. C’est bien un virus alors inconnu que tu avais attrapé. Tu allais mourir lorsque tes parents ont pris leur décision. Ils ont dépensé toute leur fortune pour toi. Les techniques utilisées alors n’étaient pas encore vraiment  au point . Tous ceux que nous avons retrouvés de cette époque étaient en très mauvais état. Nous n’avons rien pu faire pour eux. Toi, ce qui t ‘as sauvé, c’est que tu avais été placé très profondément sous la glace polaire.

-          Tu ne m’as pas répondu !

-          Nous sommes en 2523, répondit à regret Jana.

Il resta un long moment silencieux.

-          2523. Ca fait si longtemps ! C’est incroyable ! Pas étonnant que j’aie des problèmes de mémoire.

« Sa tension monte à nouveau. Je l’endors. Tu continueras demain »

C’était un ordre et Jana obéit. Elle regarda Mathias qui s’endormait lourdement et sortit de la pièce.

« Tu es amoureuse ? »

La question venait de Maya bien sûr !

« Tu regardes trop de films, ma grande ! » Répondit vertement Jana.

Et pourtant, même si c’était un sentiment qu’elle n’avait jamais connu auparavant, Jana se sentait « drôle » quand elle était auprès de Mathias. Etrange sensation qui l’envahissait et qu’elle ne comprenait pas vraiment. Elle aussi avait regardé ces films d’amour quelque peu stupides de la cinémathèque mais cela ne ressemblait en  rien au trouble qu’elle éprouvait à chaque fois qu’elle était auprès du jeune homme. Non, c’était plutôt une sensation qui montait en elle et qu’elle subissait avec autant de curiosité que d’émoi. Elle se refusa à analyser davantage ces étrangetés. D’ailleurs plusieurs membres de la communauté l’attendaient et elle eut soudain honte de ses pensées stupides. 

Ils étaient presque tous là. Ils n’osaient enfreindre les ordres, mais se tenaient aux aguets et suivaient passionnément la « résurrection ».

Jana fut aussitôt entourée. Pour la première fois, ils lui parurent étranges. Le plus grand d’entre eux faisait à peine un mètre quarante. Leurs cerveaux paraissaient disproportionnés par rapport à leur corps grêles, leurs grands yeux sombres semblaient vide de toutes expressions. Leurs visages qu’un rapide coup d’œil aurait désignés comme immobiles, étaient parcourus de frémissements, trahissant des émotions qu’ils ne pouvaient exprimer autrement.

« Il commence à poser des questions » exposa simplement Jana

« C’est normal, mais ça veut dire aussi que sa mémoire fonctionne bien ! »

« Quand pourrons nous le voir ? »

« Pas maintenant, il serait choqué, c’est encore trop tôt. »

Maya, son amie, s’approcha d’elle :

« Tu crois qu’il se doute de quelque chose pour toi ? »

« Non, mentalement, il est encore à son époque. Il est même incapable de deviner… »

Elle retourna auprès de Mathias. Il dormait encore. Son visage paraissait calme et détendu. Il remua en gémissant.

« Il rêve » pensa-t-elle.

Publicité
Publicité
Mes écris, introuvables ailleurs que sur le net
  • j'écrit beaucoup, on m'a dit que j'avais du "talent" mais je ne me fais aucune illusion quand à la publication de mes textes je croyais m'inscrire au forum, mais je crois quej'ai ouvert un nouveau blog, bon tant pis, je débute, je mettrais ici mes autres
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Publicité